lundi 30 août 2010

Quel nom donner à votre produit ?

Pendant longtemps, les noms des entreprises naissaient par hasard.

Lorsqu’il a inventé le mot Kodak, George Eastman a choisi d’instinct la lettre K. C’était la première lettre du nom de sa mère. À la fin de son nom de marque, il décida d’ajouter un autre K. Par ailleurs, il voulait que le nom de son entreprise soit court et facile à prononcer. Enfin, avant de réserver son nom final, il s’assura qu’il n’avait pas de signification négative dans une autre langue.

De nos jours, il existe des entreprises spécialisées dans la création de noms. Si vous cherchez un nom pour un nouveau produit, plusieurs possibilités s’offrent à vous:

• Les initiales: IBM, A&W, TVA, SRC
• Les noms inventés: Kleenex, Kodak
• Les nombres: Boeing 747, Century 21, Remax 2001
• Les personnages mythologiques: les pneus Atlas, les valises Samsonite
• Les noms propres: Ford, Labatt, Molson
• Les noms géographiques: Texas Instruments, Air Canada, Quebecor
• Les mots du dictionnaire: Close-Up
• Les mots étrangers: Nestlé, Lux
• Une combinaison de mots et adjectifs: la Vache qui rit
• Une combinaison de mots: General Foods, Head & Shoulders

jeudi 26 août 2010

Affaires PLUS change de look

Avec un nouveau logo et plusieurs nouveaux collaborateurs. a+ profite de la rentrée pour adopter un nouveau style.

L’une des grandes nouveautés : un contenu lifestyle, en orbite autour du monde des affaires. Chaque mois, a+ publiera des chroniques sur les tendances en matière de technologies consacrées aux consommateurs, mais aussi sur la mode masculine, la cuisine, le vin et les voyages, en plus de dossiers thématiques conçus sur mesure pour les hommes d’affaires : automobiles, sports, etc.

Ces nouveautés s’ajouteront aux articles sur l’art de faire fructifier son argent et de faire avancer sa carrière.

À chaque numéro d’a+, on pourra lire un dossier thématique fondé sur le cas d’une personnalité en vue et inspirante. Ce mois-ci, le créateur québécois de réputation internationale Philippe Dubuc témoigne dans un reportage sur l’art de rebondir.

vendredi 20 août 2010

Le sexe sur la Toile : les chiffres clés


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Comment expliquer le succès de Joe Dassin ?


Il y a 30 ans aujourd'hui décédait le chanteur français Joe Dassin. Que l'on aime ou non, force est de constater que ses chansons sont encore vivantes de nos jours, que ce soit à l’épicerie, dans l’ascenseur, au mariage d’un oncle ou au 75e de Grand-Maman.

Comment expliquer le succès marketing phénoménal de Dassin, le compositeur disparu qui rapporte le plus de droits d'auteur en France ?

Dans une entrevue réalisée avec Dassin en 1974 et publiée dans le
journal La Presse du 20 août 2005 sous la plume de Marie-Christine Blais, Dassin expliquait :

« La chanson ? Cela n'a aucune importance. Je trouve ridicules ceux qui cherchent des choses sérieuses dans la chanson. C'est une babiole. Le seul point essentiel, c'est sa fonction sociale : simplement distraire, dépayser. (...) Une bonne chanson, par définition, c'est une chanson qui marche. »

« En spectacle, rappelle Marie-Christine Blais, il se présentait dans un costume blanc moulant à la Tom Jones, il avait le sens de la scène d'un Neil Diamond, il avait du sex-appeal comme Elvis Presley, il brandissait son lasso après Les Dalton - bref, il était Américain. »

Martin Tremblay, directeur des ventes au réseau Boom FM, ajoute : « Quand on écoute ses chansons du début et celles de la fin, c'est la même recette solide et stable : des mots simples et efficaces, des mélodies accrocheuses. »

mardi 17 août 2010

Quel est l'avenir des coupons rabais ?

Dans un article récent publié dans le magazine L’épicerie, Stéphane Bordeleau s’intéresse aux coupons dans la stratégie promotionnelle des épiceries au Québec et ailleurs dans le monde.

On y apprend qu’aux États-Unis, les bons de réduction ou coupons rabais constituent encore l’un des outils promotionnels les plus utilisés. En 2009, les Américains ont utilisé 3,3 milliards de coupons. En marketing, il faut dire que les coupons ont plusieurs avantages, spécialement en période de récession :
  • Ils peuvent relancer une marque en déclin.
  • À court terme, ils augmentent votre part de marché.
  • Ils génèrent de l’intérêt autour de votre produit.
  • Ils permettent de rejoindre un grand nombre de consommateurs dans un court laps de temps.
  • Ils réduisent les infidélités. Selon ACNielsen, les utilisateurs de coupons restent fidèles plus longtemps à la marque que les consommateurs qui bénéficient des rabais directement en magasin.
  • Ils peuvent être utilisés pour attirer l’attention des consommateurs sur une nouvelle saveur ou un nouveau format.
  • Ils donnent le goût aux gens d’essayer votre produit. On estime que 65 % des coupons utilisés permettent de rejoindre de nouveaux clients (50 % pour les marques établies).

D’après Nielsen, 58 % des familles utilisaient les bons de réduction en 1971, 65 % les utilisaient en 1975 et 76 % en 1980. Ce sont les familles de la classe moyenne qui sont les plus grands utilisateurs de ces coupons.

Le taux d’utilisation des bons de réduction varie en fonction des pays. Au Canada, le taux de retour en 2004 est d’environ 4 %. En comparaison, selon un article publié il y a quelques années sur AdAge, le retour des coupons s’élève à 56 % en Belgique, 16 % en Italie et en Espagne, et 7,5 % en Angleterre.

En réalité, comme je le mentionnait à l'émission L'Épicerie, les coupons ont deux désavantages. Premièrement, plus de 20 % des coupons sont utilisés frauduleusement, ce qui pose de plus en plus de problèmes aux entreprises. Ensuite, les coupons n’augmentent pas la fidélité à la marque ni la courbe des ventes à moyen et à long terme. En réalité, une promotion sur 10 génère une hausse des ventes supérieure à 10 %.

jeudi 12 août 2010

Accès à Internet sur la planète

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Source : Gigaom