Le derby officiel du magasinage des Fêtes a commencé hier avec
l’Action de grâce américaine, le vendredi fou (Black Friday, en anglais) et lundi prochain, les consommateurs ont droit aux aubaines du Cyber Lundi.
On ne réalise pas toujours à quel point la séquence « Action de grâce américaine - vendredi fou - et Cyber Lundi » joue un rôle clé dans le lancement des festivités du temps des fêtes. Il est vrai que depuis quelques années, les rabais de Noël arrivent de plus en plus tôt.
C’est à l’Action de grâce américaine que l’on doit le TV Dinner en 1953 et la première publicité TV de Coca-Cola en 1950.
Sans surprise, on comprend que les centres commerciaux font des pieds et des mains pour attirer le maximum de consommateurs. En entrevue, j’en parle d’ailleurs avec Gilles Parent du FM93.
Lors du vendredi fou de cette année (Black Friday), on estime que 1 million de Canadiens seront « malades », histoire de préparer le magasinage de Noël.
Il est vrai que depuis 2005, le Cyber Lundi mêle les cartes en ce qui a trait à la consommation et oblige les commerces à réfléchir au marketing omnical, un sujet que j’abordais récemment lors d’une conférence à Montréal.
Signe des temps, la mobilité représente maintenant 20 % de l’ensemble des transactions.
On ne réalise pas toujours à quel point la séquence « Action de grâce américaine - vendredi fou - et Cyber Lundi » joue un rôle clé dans le lancement des festivités du temps des fêtes. Il est vrai que depuis quelques années, les rabais de Noël arrivent de plus en plus tôt.
C’est à l’Action de grâce américaine que l’on doit le TV Dinner en 1953 et la première publicité TV de Coca-Cola en 1950.
Sans surprise, on comprend que les centres commerciaux font des pieds et des mains pour attirer le maximum de consommateurs. En entrevue, j’en parle d’ailleurs avec Gilles Parent du FM93.
Lors du vendredi fou de cette année (Black Friday), on estime que 1 million de Canadiens seront « malades », histoire de préparer le magasinage de Noël.
Il est vrai que depuis 2005, le Cyber Lundi mêle les cartes en ce qui a trait à la consommation et oblige les commerces à réfléchir au marketing omnical, un sujet que j’abordais récemment lors d’une conférence à Montréal.
Signe des temps, la mobilité représente maintenant 20 % de l’ensemble des transactions.