Il y a 30 ans aujourd'hui décédait le chanteur français Joe Dassin. Que l'on aime ou non, force est de constater que ses chansons sont encore vivantes de nos jours, que ce soit à l’épicerie, dans l’ascenseur, au mariage d’un oncle ou au 75e de Grand-Maman.
Comment expliquer le succès marketing phénoménal de Dassin, le compositeur disparu qui rapporte le plus de droits d'auteur en France ?
Dans une entrevue réalisée avec Dassin en 1974 et publiée dans le journal La Presse du 20 août 2005 sous la plume de Marie-Christine Blais, Dassin expliquait :
« La chanson ? Cela n'a aucune importance. Je trouve ridicules ceux qui cherchent des choses sérieuses dans la chanson. C'est une babiole. Le seul point essentiel, c'est sa fonction sociale : simplement distraire, dépayser. (...) Une bonne chanson, par définition, c'est une chanson qui marche. »
« En spectacle, rappelle Marie-Christine Blais, il se présentait dans un costume blanc moulant à la Tom Jones, il avait le sens de la scène d'un Neil Diamond, il avait du sex-appeal comme Elvis Presley, il brandissait son lasso après Les Dalton - bref, il était Américain. »
Martin Tremblay, directeur des ventes au réseau Boom FM, ajoute : « Quand on écoute ses chansons du début et celles de la fin, c'est la même recette solide et stable : des mots simples et efficaces, des mélodies accrocheuses. »
Comment expliquer le succès marketing phénoménal de Dassin, le compositeur disparu qui rapporte le plus de droits d'auteur en France ?
Dans une entrevue réalisée avec Dassin en 1974 et publiée dans le journal La Presse du 20 août 2005 sous la plume de Marie-Christine Blais, Dassin expliquait :
« La chanson ? Cela n'a aucune importance. Je trouve ridicules ceux qui cherchent des choses sérieuses dans la chanson. C'est une babiole. Le seul point essentiel, c'est sa fonction sociale : simplement distraire, dépayser. (...) Une bonne chanson, par définition, c'est une chanson qui marche. »
« En spectacle, rappelle Marie-Christine Blais, il se présentait dans un costume blanc moulant à la Tom Jones, il avait le sens de la scène d'un Neil Diamond, il avait du sex-appeal comme Elvis Presley, il brandissait son lasso après Les Dalton - bref, il était Américain. »
Martin Tremblay, directeur des ventes au réseau Boom FM, ajoute : « Quand on écoute ses chansons du début et celles de la fin, c'est la même recette solide et stable : des mots simples et efficaces, des mélodies accrocheuses. »