Il était une fois un homme du New Jersey à la fois passionné de voitures et de cinéma qui décida un jour de combiner ses deux passe-temps favoris pour inventer « le ciné-parc ».
Pour ce faire, Richard Hollingshead Jr. utilisa un projecteur Kodak qu’il mit sur le capot de sa voiture. Il fixa ensuite un écran à des arbres avec de la corde. Pour faciliter la vision des spectateurs, il plaça des blocs de béton en dessous des roues à l'avant de chacune des voitures.
En 1933, Monsieur Hollingshead Jr fit breveter son invention « le ciné-parc »(United States Patent # 1,909,537). La même année, il construisit le premier ciné-parc à Camden au New Jersey, au coût de 30 000 $.
Au début, le son dans les ciné-parcs provenait de haut-parleurs RCA Victor placés de chaque côté de l'écran. Par la suite, on inventa le haut-parleur individuel pour chaque voiture (placé sur le rebord de la fenêtre). De nos jours, une émission basse fréquence est captée par les autoradios de chaque voiture.
À l’occasion de l’ouverture de la saison des ciné-parcs au Québec, je fais l’histoire complète de ce mode de divertissement avec Gilles Parent du FM 93 à Québec.
C’est pour moi l’occasion de revenir sur les moments incontournables de ce phénomène, entre autres, un retour sur l’âge d’or des ciné-parcs dans les années 50 (on compte alors environ 4500 ciné-parcs en Amérique du nord), le déclin du phénomène dans les années 80, puis le renouveau des années 2000.
Pour ce faire, Richard Hollingshead Jr. utilisa un projecteur Kodak qu’il mit sur le capot de sa voiture. Il fixa ensuite un écran à des arbres avec de la corde. Pour faciliter la vision des spectateurs, il plaça des blocs de béton en dessous des roues à l'avant de chacune des voitures.
En 1933, Monsieur Hollingshead Jr fit breveter son invention « le ciné-parc »(United States Patent # 1,909,537). La même année, il construisit le premier ciné-parc à Camden au New Jersey, au coût de 30 000 $.
Au début, le son dans les ciné-parcs provenait de haut-parleurs RCA Victor placés de chaque côté de l'écran. Par la suite, on inventa le haut-parleur individuel pour chaque voiture (placé sur le rebord de la fenêtre). De nos jours, une émission basse fréquence est captée par les autoradios de chaque voiture.
À l’occasion de l’ouverture de la saison des ciné-parcs au Québec, je fais l’histoire complète de ce mode de divertissement avec Gilles Parent du FM 93 à Québec.
C’est pour moi l’occasion de revenir sur les moments incontournables de ce phénomène, entre autres, un retour sur l’âge d’or des ciné-parcs dans les années 50 (on compte alors environ 4500 ciné-parcs en Amérique du nord), le déclin du phénomène dans les années 80, puis le renouveau des années 2000.
Quels sont les plus grands et plus petits ciné-parcs au monde ? Pourquoi l’inventeur du ciné-parc s’est vu retirer son brevet près de deux décennies plus tard ? Comment expliquer l’émergence puis le déclin relatif de ce mode de divertissement ?
Pour écouter l’entrevue, cliquer ici.
Voir/écouter aussi :
Dans une article intitulé Dans un ciné-parc près de chez-vous (journal Voir), Mélissa Proulx s'intéresse au passé et à l'avenir du ciné-parc. Pour ce faire, elle questionne Jean-Philippe Groleau, créateur du site cineparcs.ca et moi-même.
Je fais également la petite histoire des ciné-parcs en compagnie de Monsieur Groleau à l'émission AM, présentée à l'antenne de Radio-Canada. Pour écouter l'entrevue avec l'animateur Bernard Faucher, Monsieur Groleau et moi-même, cliquer ici.