mardi 19 juillet 2016

Comment expliquer le buzz entourant Pokemon Go?

Pokémon GO est un jeu de réalité augmentée qui vous permet de voyager dans le monde réel et le monde virtuel de Pokémon avec un iPhone ou un téléphone intelligent Android. Comment expliquer le buzz entourant Pokemon Go ? Mon entrevue avec Louis Lacroix de l’émission «puisqu’il faut se lever» au 98,5 FM à Montréal.

vendredi 15 juillet 2016

Pokémon GO - un succès fulgurant



Pokemon Go – un succès fulgurant. Les statistiques de SimilarWeb démontrent que 6,30 % des appareils Android au Canada auraient l’application installée. Pour Pokémon, les utilisateurs gardent l’application ouverte et active pour une moyenne de 33 minutes et 25 secondes. Dans ce contexte, préparez-vous à voir la publicité apparaître sur cette app.

Comme je le rappelle en entrevue à Georges Pothier de «Salut Bonjour» à TVA, l’app repose pourtant sur un principe vieux comme le monde : la chasse au trésor, ici des Pokemon(s). En marketing, on ne réinvente pas la roue...

jeudi 14 juillet 2016

Pokemon Go - un phénomène rarement vu



Pokemon Go – c’est la nouvelle folie qui obsède des millions de gens sur les iPhone partout à travers le Canada.

Comme je le mentionne en entrevue à Richard Latendresse de TVA, l’app repose sur un principe vieux comme le monde : la chasse au trésor, ici des Pokemon(s). Et le tour est joué.

Partout, dans les rues, dans les parcs, à la maison ou dans les cimetières, les Pokémons alimentent la folie. Ce faisant, l'app contribue à la socialisation ; elle alimente la nostalgie et oblige les utilisateurs à bouger.

Pas mal pour une app dont l’inspiration vient d’un poisson d’avril de Google il y a deux ans. La farce du 1er avril a inspiré un programmeur informatique à contacter Nintendo pour concevoir un nouveau jeu alliant GPS, course au trésor, collection et photos - la réalité augmentée. Un vrai coup de génie !

mardi 12 juillet 2016

Pokemon Go - le génie marketing derrière l'app


Pokemon Go – c’est la nouvelle folie qui obsède des millions de gens partout à travers le monde. 

Comme je le mentionnais un peu plus tôt en entrevue à Richard Latendresse de TVA, l’app repose sur un principe vieux comme le monde : la chasse au trésor. Imaginez que l’on remplace les œufs de Pâques, qui sont vrais, physiques, par des Pokémons qui eux sont virtuels. Et le tour est joué.

Partout, dans les rues, dans les parcs, à la maison ou dans les cimetières, les Pokémons alimentent la folie. Ce faisant, l'app contribue à la socialisation ; elle alimente la nostalgie et oblige les utilisateurs à bouger.

Lundi, l’action de la compagnie mère des créatures, Nintendo, a pris 9 milliards $ d’un coup ! Fortune indique que le nombre d’utilisateurs du jeu aurait déjà dépassé celui de l’application Tinder. 

Pas mal pour une app dont l’inspiration vient d’un poisson d’avril de Google il y a deux ans. La farce du 1er avril a inspiré un programmeur informatique à contacter Nintendo pour concevoir un nouveau jeu alliant GPS, course au trésor, collection et photos - la réalité augmentée. Un vrai coup de génie !

lundi 11 juillet 2016

Le UFC vendu 4 milliards $!

On apprend ce matin que le UFC a été racheté par un groupe d'investisseurs pour un montant de 4 milliards de dollars. Un retour sur investissement incroyable pour Lorenzo et Franck Fertitta.  

Créé en 1993 à Denver, le UFC est devenue avec le temps la plus importante organisation de combat libre au monde. 

En janvier 2001, White fait l’acquisition du UFC avec les gérants de casino Frank Fertitta III et Lorenzo Fertitta pour la modique somme de 2 millions $.

À son arrivée, White revoit de fond en comble les façons de faire du UFC. Conscient des problèmes d’image de la ligue et désireux de mettre fin aux poursuites à répétition qui entachent la réputation de la franchise, White choisit de nettoyer le monde du combat extrême pour multiplier les occasions d’affaires.  

Pour ce faire, Dana White crée des catégories de pugilistes (jusque là, un lutteur de 300 livres pouvait affronter un spécialiste du karaté de 150 livres) ; il adopte le livre de règlements de la New Jersey Athletic Control Board, lequel interdit les coups derrière la tête ; et il développe le marché de la télévision à la carte (pay-per-view, en anglais), s’inspirant en cela des combats Ali-Frazier, premiers événements du genre à être diffusés à la télévision payante.

De nos jours, grâce à un contrat avec HBO, la boxe reste le sport de matelas le plus populaire en Amérique du nord, mais la durée des combats, la forme de l’arène et la grosseur des gants en font un sport ringard pour toute une génération de jeune gavée de sport extrême

Quant à la lutte, on le sait maintenant, c’est un spectacle arrangé, donc faux. En outre, les scandales de consommation de stéroïdes, les décès de lutteurs et les excès de langage dans le ring et à la télévision ont fini par nuire à l’image de la WWE. 

En ce qui a trait au UFC, son modèle d’affaires a l’avantage de garantir des revenus constants grâce à la présentation de galas d’art martiaux à la télévision payante. Ces galas attirent jusqu’à 1,5 millions de clients. 

Ceci dit, en terme de revenus totaux, le UFC reste le 3e sport de matelas derrière la boxe et la lutte. Elle peut toutefois se targuer d’attirer des commanditaires de premier plan comme Reebok (70 millions $ pour six ans), Bud Light et Harley-Davidson. 

Mise au monde dans la tête du grand public par une téléréalité, The Ultimate Fighter, présentée à l’antenne de Spike TV de 2005 à 2011, le UFC a donc réussi à se tailler une place au soleil. Mais les défis restent entiers.