mardi 30 juillet 2013

Comment vendre des tartinades sucrées : la recette Nutella



On apprenait récemment que la production des tartinades Map-O-Spread et du caramel Grenache, deux produits créés par des entreprises familiales d'ici, restera au Québec. 

Dans le sillage de cette nouvelle, je me suis penché en entrevue aujourd’hui sur les origines de Map-O-Spread et du caramel Grenache. Par la même occasion, j’en ai profité pour faire la petite histoire du compétiteur numéro 1 de ces deux produits, j’ai nommé la tartinade Nutella. 

Comme vous le verrez en écoutant cette intervention, dans le domaine des tartinades sucrées comme ailleurs, le marketing prend beaucoup d'importance : publicité, commandite, conditionnement de produit, promotion, image et branding, nom du produit, etc. 

Quel est l’avenir de la tartinade sucrée? En entrevue, j'en parle avec Dominique Arnoldi de l'émision Bien dans son assiette à l'antenne de Radio-Canada.

lundi 1 juillet 2013

Air Canada Rouge promet un service de premier plan


 
Baptême de l’air aujourd’hui pour Air Canada Rouge, une filiale d'Air Canada. Air Canada Rouge promet des prix avantageux et une expérience client de premier plan. Comme je le mentionne en entrevue, il faut dire que les 150 nouveaux agents de bord de Rouge ont tous pris un cours de formation en excellence d'une semaine à l'Institut de Disney en Floride.  

Lancé en 1971, le complexe de Disney World est situé à une trentaine de kilomètres d’Orlando. Pour faire fonctionner adéquatement le complexe floridien de 110 kilomètres carrés qui compte 55 000 employés regroupés dans 32 syndicats, Disney a créé la Disney University, aussi connue sous le nom de Disney Institute.  

Concrètement, cette institution d’enseignement privée est chargée de former les employés et les recrues (plus de 100 nouveaux employés par jour pour Disney seulement) confrontés aux 1500 définitions de tâches différentes contenues dans les 10 conventions collectives de la compagnie.  

Disney offre aussi ses services aux entreprises soucieuses de maximiser leur service à la clientèle comme c’est le cas avec Air Canada Rouge.
 

Durant cette formation, l’employé modèle apprend les rudiments du service à la clientèle Disney centré sur quatre éléments contitutifs : sécurité, courtoisie, spectacle et efficacité.
 

Au hasard de mes échanges avec des employés de Disney en 2009, on m’a révélé que la bibliothèque Disney (oui, oui, ça existe) contenait plus de 3 000 ouvrages consacrés essentiellement à l’entreprise et au service à la clientèle. Il est vrai que Walt Disney était obsédé par l’expérience clients.
 

De son vivant, l’idéateur de Mickey avait l’habitude de mesurer et de tester chaque détail de son offre marketing. Par exemple, lors du lancement de son premier parc en Californie, Walt avait remarqué que la première impression jouait un rôle clé dans l’évaluation d’un parc thématique.  

Pour cette raison, à l’instar des parcs Disney, tous les agents de bord Rouge auront des étiquettes de nom qui identifient leurs villes natales – idéal pour initier les échanges entre le personnel et la clientèle.
 

En outre, Walt Disney avait constaté que chaque client entrait en contact direct avec des employés 60 fois, en moyenne, durant un séjour normal.  

Dans ce contexte – et comme on le constatera probablement assez vite en s’installant dans un avion d’Air Canada Rouge – le personnel accordera beaucoup d’importance au contact visuel, au sourire, aux salutations d’usage, au langage du corps (body language) et au mot « Merci ».
 

Au-delà des employés, chaque petit détail compte sur le complexe Disney : design, éclairage, signalisation, odeur, goût, couleur, etc. À titre d’exemple, dans la section du parc Magic Kingdom dans lequel on retrouve une maison hantée et un vieux cimetière reconstitué, on soupoudre chaque matin de la poussière achetée et livrée dans des sacs de 5 livres.
 

Par ailleurs, dans tous les parcs et les sections de parc, la musique et le choix des couleurs dominantes contribuent à créer subtilement l’état d’âme recherché : excitation, aventure, rêve ou danger, selon l’objectif poursuivi. Dans la seule parade de Cendrillon qui se déroule chaque soir à 20 h à Magic Kingdom, le parcours est sectionné en 33 zones musicales différentes.
 

La gestion des files d’attente est un défi constant. À lui seul, le monorail du parc transporte 110 000 clients chaque jour.
 

Devant chaque manège, on a pris soin d’indiquer le temps d’attente moyen (celui-ci est mesuré constamment, je le sais, on m’a demandé de le faire à une couple de reprises durant mon séjour). Par ailleurs, l’installation de téléviseurs occupe et distrait momentanément la clientèle à la recherche de sensation forte.  

À l’évidence, c’est donc une toute nouvelle culture d’entreprise qu’Air Canada souhaite instaurer dans sa filiale à bas prix.

mardi 18 juin 2013

Place Banque Scotia deviendra le Centre Canadian Tire

Le propriétaire des Senateurs d’Ottawa confirmera ce matin que l’amphithéâtre des Sénateurs se nommera désormais le Centre Canadian Tire.

Dans les faits, les effets de la commandite sportive sont nombreux. En commanditant un amphithéâtre sportif et en s’associant au hockey, véritable religion au Canada, une entreprise comme Canadian Tire cherche à augmenter sa visibilité et son capital de sympathie auprès du public, un élément particulièrement important avec la multiplication des bannières en sol canadien, entre autres, l’arrivée de Target.

Concrètement, Canadian Tire cherche à maximiser les éléments suivants : exclusivité d’association, droit de se présenter comme le commanditaire officiel, droit d’utiliser le nom, le logo et l’image de l’événement, visibilité sur le site de l’événement, visibilité sur le matériel publicitaire et promotionnel, visibilité sur les produits dérivés, occasions d’actions de relations publiques et d'affaires (vendre ses services/produits dans l'amphithéâtre), billets pour l’événement, droits de tournage TV et cinéma, etc. 

Pour toutes ces raisons, les entreprises sont prêtes à débourser des sommes importantes pour associer leurs marques à un stade sportif : Air Canada Centre, Toronto : 1,5 million $ (expire en 2019) - American Airlines Arena, Dallas : 2,1 millions $ (expire en 2019) - Gaylord Center, Nashville : 4 millions $ (expire en 2018) - HP Pavilion, San Jose : 3,1 millions $ (expire en 2016) - Pepsi Center, Denver : 3,4 millions $ (expire en 2019)

Les critères permettant d’évaluer le montant de la commandite sont nombreux : nombre de visiteurs, visibilité sur les lieux de l’événement et sur le matériel publicitaire, image de l’événement, potentiel commercial, couverture par les médias, mentions des commanditaires et présence de la télévision ; des éléments centraux pour une entreprise comme Canadian Tire.

Ceci dit, il est à espérer que ce changement de nom sera là pour durer, un élément central pour assurer l'efficacité de la commandite de nom. En effet, depuis la création du domicile des Sénateurs, il s’agit du quatrième nom à occuper la façade de l’édifice après le Palladium, le Centre Corel et la Place Scotia.

Pour la célèbre banque, il s’agit d’un moindre mal, celle-ci étant déjà associée à l’amphithéâtre des Flames de Calgary (Scotiabank Saddledome).

mercredi 12 juin 2013

Sur les origines de la Coupe Stanley

En ce début de série finale de la Coupe Stanley opposant les Bruins de Boston aux Black Hawks de Chicago, retour obligé sur les origines du trophée le plus célèbre du sport professionnel en Amérique du Nord.


Quelles sont les origines de la Coupe Stanley ? Combien existe-t-il de Coupe Stanley ? Quelles sont les meilleures anecdotes reliées à la Coupe Stanley ? 

En entrevue, j'en parle avec Ray Cloutier de l'émission Le retour de Gilles Parent à l'antenne du FM93 avec en prime une histoire savoureuse sur la Coupe Avco (AMH), premier trophée commandité dans l’histoire du sport professionnel.

lundi 10 juin 2013

Placement de produits dans Superman – Man of Steel



Superman – Man of Steel, le dernier épisode des aventures de Superman qui sera lancé cette semaine, est un hymne au placement de produit. 

Concrètement, on parle de plus de 100 ententes marketing ; une occasion en or pour Gillette, Walmart, Sears, Nokia, Chrysler, Kellogg et Hershey de s’associer avec le célèbre protecteur de la veuve et de l’orphelin.

Signe des temps, la centaine de commanditaires et de partenaires médias n'a pas hésité à débourser plus de 160 millions $ au total pour s’associer au superhéros le plus populaire de tous les temps. 

Créé en 1932 par Jerry Siegel et Joe Shuster, deux juifs de Cleveland, Superman est considéré comme le premier superhéros de l’histoire. 

Officiellement, Superman est lancé en juin 1938. Il fait alors la couverture du premier numéro d’Action Comics. Mais comme on doute de son potentiel commercial, il sera absent de la couverture des numéros subséquents. Erreur !

Depuis sa création, la franchise de Superman a généré plus d’un milliard $ de revenu. Or, les cocréateurs ont reçu initialement la joyeuse somme de 130 $ pour le personnage de Superman.

Comment expliquer cet engouement pour Superman ? Quel est la recette « superhéros » de Siegel et Shuster ? Plus tôt aujourd’hui, je me suis penché sur dans le détail sur les origines du phénomène Superman.

Pour écouter l'entrevue, cliquer ici.

jeudi 6 juin 2013

Radio-Canada devient ICI



Dans les prochains mois, Radio-Canada a confirmé en conférence de presse la disparition progressive de l’expression « Radio-Canada ». Ainsi, la Première Chaîne s’appellera désormais Ici Première ; la télévision de Radio-Canada se transformera en Ici Télé ; et le site web de la SRC deviendra Ici.ca.

Graduellement nous verrons aussi les expressions Ici ARTV, Ici Explora, Ici RDI, Ici Info, Ici Musique et Ici Tou.TV pour identifier les autres plateformes médias de Radio-Canada. Dans le langage du métier, on parle de campagne de repositionnement ou de rebranding.

Le positionnement d’un produit dépend de plusieurs éléments. Un des aspects les plus importants dans la réussite d’un positionnement tient au nom que l’on donne à un produit. Pour gagner, il faut donner un nom qui le positionne clairement dans l’esprit des gens : Budget pour une entreprise de location de voitures à bas prix ou Ultrabright pour un dentifrice qui rend les dents blanches.
 
Un autre élément important dans la réussite d’un positionnement tient au logo qui représente le produit. Un logo symbolise la marque. Il doit être simple, donner une image positive de votre produit et véhiculer un message. Il doit aussi être original et traverser les années, 10 à 15 ans idéalement.

Un troisième élément important qu’il faut prendre en considération est le slogan que l’on accole à un produit. 

Difficile à réaliser, le positionnement d’un produit est encore plus difficile à modifier. Qu'est-ce qui détermine le branding, la personnalité de la marque Radio-Canada ? Pourquoi modifier son nom de marque ? Est-ce qu'il y a des risques à changer de nom ? J’en parle avec Benoît Dutrizac.

jeudi 16 mai 2013

Star Trek « série culte numéro 1 »



À l'occasion du lancement de Star Trek Into Darkness, retour obligé sur l’histoire de la série Star Trek (Patrouille du cosmos, en français).

Créée par Gene Roddenberry dans les années 60, la série Star Trek a été nommée « série culte numéro 1 » de l’histoire de la télévision par le magazine américain TV Guide.

Dans les faits, Star Trek (l’original) est une série télévisée en 79 épisodes de 45 minutes, diffusée entre le 8 septembre 1966 et le 3 juin 1969 sur le réseau NBC (trois saisons au total, mais sans jamais occuper le Top 30 des émissions les plus populaires).

Dès 1970, la série Star Trek est disponible dans plus de 60 marchés sur la planète. Il faut dire que la composition de l’équipage (un Blanc, une Noire, un Russe, un Asiatique, un Britannique et un extraterrestre) facilite l'identification. Ce Benetton avant l’heure deviendra par la suite la norme dans l'ensemble de la production télévisuelle hollywoodienne.

Au Québec, la série Star Trek sera traduite par Sonolab et diffusée à partir de 1971 à l'antenne de TVA et rediffusée sur Prise 2 quelques décennies plus tard.

Éventuellement, sous le poids des baby-boomers qui vieillissent, la série donnera naissance à des films, des romans, des jeux vidéo, d’autres séries et de grandes rencontres – des trade shows – durant lesquelles les admirateurs de la première heure échangent des souvenirs et des produits dérivés déguisés en Spock, le Comiccon Montréal 2012 étant un exemple parmi tant d’autres de cette popularité tous azimuts.

Dans cette entrevue réalisée avec BenoîtDutrizac à l’occasion du passage de William Shatner à Montréal il y quelque temps, je discute en détail du phénomène Star Trek. Un pur moment de nostalgie avec en prime plusieurs anecdotes et les incontournables sons de portes coulissantes et de téléportations.

mardi 7 mai 2013

Conférence sur la géolocalisation à l'ACFAS


Dans le cadre du Congrès annuel de l’ACFAS, je donnais cet après-midi une conférence intitulée « Le concept de géolocalisation ou l’éloge du local».

Cette conférence visait à sensibiliser les participants aux techniques de géolocalisation. Dans un premier temps, je me suis penché sur l’évolution du Web. Par la suite, j’ai donné quelques chiffres sur le potentiel de la géolocalisation (influence 5,1 % des ventes dans les magasins aux États-Unis en 2012) et je me suis penché sur les 5 types de géolocalisation.

Bien sûr, on retrouvait aussi dans ma présentation co-signée par Audrey Portela, détentrice d’une maîtrise en communication de l’Université d’Ottawa, une étude de cas, plus précisément la campagne de géolocalisation de la ville de Montréal lancée en 2011 sous la direction de Guillaume Brunet qui travaille maintenant à Substance Stratégies numériques.

Comme le rappelait le libellé de ce colloque intitulé «Usage des médias sociaux : enjeux sur la e-réputation des organisations » organisé par Francine Charest et Alain Lavigne de l’Université Laval :

« Le Web 2.0 est devenu l’un des plus puissants outils de communication. Ce phénomène suscite de multiples questionnements. C’est sous l’angle des mutations qu’il induit sur les pratiques des professionnels en relations publiques qu’il nous intéresse d’étudier les usages des médias sociaux par ce groupe de professionnels et d’en analyser l'incidence sur la e-réputation des organisations. »

« Bien que ce secteur d’activités représente une catégorie d’usagers très active dans les médias sociaux, il a peu fait l’objet d’études fondamentales. À la lumière de la revue de littérature menée sous l’approche de l’appropriation (De Certeau, 1980, Jouet, 2000; Boullier, 2009; Breton et Proulx, 2012; Millerand, Proulx, Rueff, 2010) nous savons qu’il existe des écarts importants dans les usages et les pratiques des médias sociaux, notamment entre les usages prescrits (De Certeau) ou prévus par les stratèges de la communication et les usages effectifs des usagers ou des publics. »

« Charest et Bédard (2009) ont montré que le Web 2.0 était la revanche des internautes de se réapproprier l'Internet tel qu’il avait été conçu par Tim Berners-Lee en 1993, soit comme un outil d’échange et de partage d’information. Il a été clairement montré que la première génération d'Internet a plutôt été utilisée par les communicateurs à des fins de diffusion et de promotion. Or, cette réappropriation d'Internet par les usagers oblige les professionnels à utiliser ces nouveaux médias comme un moyen de communication interactif avec leurs publics pour ainsi satisfaire les besoins d’information et de communication associés aux nouvelles façons de communiquer dans les médias sociaux. »

« Ce nouvel Art de faire (De Certeau) se rapprocherait des cinq indicateurs de la théorie de gestion des relations de Ledingham et Bruning (1998, 2003) appliquée aux relations publiques, soit la fiabilité, la transparence, l’implication, l’investissement et l’engagement à long terme. »

Ce colloque multidisciplinaire visait à rassembler des chercheurs de différents horizons. Parmi les nombreux intervenants, on comptait Josianne Millette - UQAM - Université du Québec à Montréal, Pascal Plantard - Université Rennes 2, Marielle Metge - USTV, Lukasz Bochenek - Université de Neuchâtel, Valérie Larroche - Université Lyon 3 et Florian MARTIN-BARITEAU - Université de Montréal.


On comptait aussi sur Serge AGOSTINELLI - Université d'Aix-Marseille, France, Anthony Doucet - Université Laval, Alain Lavigne - Université Laval, François Grenon - Université Laval, Patrice Leroux - Université de Montréal, Antoine Dupin - Université Laval, Guillaume Brunet - Substance Stratégies numériques, Pierre-Thomas Choquette - Le Cabinet de relations publiques NATIONAL et François Grenon - Université Laval.

vendredi 3 mai 2013

Marc Simoneau meurt à 72 ans



L'ex-animateur de radio et journaliste de sport Marc Simoneau est décédé ce matin à l’âge de 72 ans.

Véritable bourreau de travail, Marc Simoneau prenait rarement plus d’une semaine de vacance par an et couchait régulièrement dans le stationnment du Colisée. 

Ce passionné des Nordiques et de baseball a engagé la première femme animatrice de ligne ouverte de sport au Québec, Danielle Rainville. (Ceci dit, je précise que Marcelle Saint-Cyr et Robin Herman ont été les premières femmes  à entrer dans le vestiaire après un match de la LNH dans les années 70.)

Marc Simoneau a aussi lancé la mode des collections de cartes de sports, engagé Alain Crête « un petit jeune talentueux » à la description des matchs des Nordiques, fait une place de choix au sport amateur à Québec et jasé football de la LNF dans ses émissions avant que cela ne devienne « in » de le faire dans les lignes ouvertes.

Par ailleurs, Marc Simoneau se faisait un devoir d'enregistrer des dizaines de matchs de hockey par semaine par l’intermédiaire de sa célèbre antenne parabolique.

Celui qui s’est fait connaître à la radio de CHRC et de CJRP avec André Arthur (un duo du tonnerre et des joutes verbales inoubliables !) découpait des centaines d'articles dans les journaux afin d'alimenter ses échanges avec les amateurs de sports (« son grand livre bleu »). Véritable junkie de l'info, il se faisait également un devoir de dévorer le USA Today afin de s'alimenter en nouvelles.

Ses entrevues et ses disputes avec Réjean Tremblay sont mémorables. Ses bulletins de sport à la télévision de Télé Capitale et son amour pour Madeleine, son épouse, alimentaient la légende. Mais plus que tout, Marc Simoneau était reconnu pour son langage coloré et son style direct, sans détour, un journaliste authentique comme il y en a très peu aujourd'hui.
 
Roi du scoop, Marc Simoneau a joué un rôle clé en 1979 dans le boycott des produits Molson à Québec. Devant ce tollé, le Canadien de Montréal, propriété de Molson, exigea un nouveau vote sur la fusion qui permit aux Nordiques de Québec d'accéder à la LNH. 

Marc Simoneau était un personnage unique dans l'histoire du hockey et du sport à Québec. Des heures et des heures de plaisir à l'écouter sur mon radio AM

En 2011, j'ai eu le privilège de rencontrer Monsieur Simoneau pendant plusieurs heures à sa maison. J'en garderai toujours un souvenir indélébile. C'est à ce moment que j'ai compris que Marc Simoneau, c'était Monsieur Passion, un homme entier. J'en parle d'ailleurs ici avec Gilles Parent du FM93.

mercredi 24 avril 2013

Coca-Cola parle d'obésité dans une publicité




Depuis hier, vous pouvez voir au Canada la nouvelle publicité de Coca-Cola qui aborde de front le problème de l'obésité.

Pour la multinationale de la boisson gazeuse, cette campagne est une occasion de se positionner dans le débat sur la prise de poids et de répondre aux arguments de ses détracteurs. Selon Coca-Cola, il revient « à chacun d'être conscient du fait que toutes les calories comptent dans la gestion du poids d'une personne. »

Est-ce la pression sociale qui oblige la compagnie à se pencher sur ce problème ? J'en parle avec Yves-Gérard Mehou-Loko à l'antenne de Radio-Canada.